toxic. (mac)

macsen dawkins

“et tu r'gardes les étoiles en rêvant d'mettre les voiles.”

nom, prénoms | d'puis qu't'es né, on t'appelle macsen. normal, tes parents ont décidés d'te nommer ainsi. ironique, c'est la seule fois qui se sont concernés à deux pour toi, un foutu prénom. des imbéciles qui mettent naissance sans se douter des conséquences que ça engendre, un bébé. c'est macsen qu'on t'a donné comme prénom et que tu as accepté. tu pouvais pas faire autrement, au fond. macsen l'idiot, macsen la pipelette, macsen le salopard, macsen le mystérieux. tes parents, une mère trop jeune et un père trop vieux, un adultère, un connard qui a trompé sa femme pour une p'tite jeune, une nuit et pouf, tout change. un dawkins. et toi, t'es pas fier et pourtant, tu dois l'porter ce foutu prénom. que tu le veuilles ou non, t'en es un. t'es mal tombé, t'as pas pu choisir et tu t'es retrouvé dans ces embrouilles constantes. t'es le fruit d'une tromperie et tu dois vivre avec. t'étais pas voulu.âge, date et lieu de naissance | les années soufflées, les années envolées et trop rapidement violentées par ces histoires de famille, ces vingt-trois années que tu as fini par vivre comme tu le voulais. ils n'étaient pas responsables, tu as vécu par toi-même. vingt-trois années où tu as terminé par vivre avec ce que tu avais, avec qui tu le voulais. t'as toujours rêvé de te barrer d'ici, t'as vu l'jour à kent, mais depuis une dizaine d'années, ton envie la plus folle est de t'enfuir, t'envoler loin, seul. t'en as marre des mêmes visages, des mêmes histoires. tu veux vivre autrement, changer de vie. nationalité et origines | avec toi, le globe tourne beaucoup. ton doigt s'arrête sur les mêmes pays, tout le temps. c'est d'où tu viens, l'angleterre comme nationalité, malgré ton envie de t'en aller. ensuite, c'est l'autriche et la suède. tu viens d'là-bas et pourtant, t'es toujours ici. tu peux pas partir, t'en as pas la force. on t'a éduqué comme un faible, t'as l'impression d'en faire partie, des faibles, mais c'est tout ce que tu n'es pas. occupation | c'est un de ces garçons rebelles, qui ont suivis un chemin différent pour faire chier son père indigne. t'es peintre et photographe. pourtant, tu faisais des études de droit, mais t'as arrêté, après une énième dispute avec ton paternel. tu voulais faire dans le cinéma ou encore la danse et la musique, mais tu as fait ton choix : la peinture et ses couleurs, les photographies et ses contrastes. statut financier | ton père est un quelqu'un de puissant, de connu et de riche. ta mère est fauchée et se débrouille comme elle peut. tu n'as jamais voulu vivre dans ce luxe, il aveugle les gens et tu n'as pas voulu devenir comme tel. débrouillard comme ta mère, tu lui portes un respect énorme et tu as vécu dans le même merdier qu'elle. tu fais comme tu peux, tu vis de tes moyens et l'argent que ton père te fait parvenir, tu le donnes aux pauvres, dans la rue. t'en veux pas, de ces billets merdiques. t'es pas fauché, tu te débrouilles comme tu peux et tes tableaux commencent à se faire vendre de plus en plus. tu commences à gagner, dans la moyenne, que tu es.état civil et orientation sexuelle | malgré les remarques constantes des bourges, des moqueries incessantes que tu ne prenais pas comme tel, gay, qu'on te croyait. ils utilisaient ceux-ci comme insulte et tu répliquais en disant qu'ils étaient idiots. t'es bien hétérosexuel et seule les filles t'intéressent. leurs courbes, les sourires cristallins et leurs yeux pétillants qui te font chavirer à chaque fois. situation familiale | une mère fauchée dont tu prends soin, un père trop vieux pour tenir debout sans canne et ses enfants tous insupportables les uns que les autres. tu n'as que ta mère, mais ils font partie de ta vie, tu n'as pas eu le choix. ces cons que tu n'apprécies pas pour le moins du monde. tu n'es pas accepté dans cette famille et tu le sais bien. tu n'as pas envie d'être accepté, tu n'es pas comme eux et tu en es bien fier. traits de caractère | débrouillard, dès ton plus jeune âge, tu as du faire avec ce que tu avais : tu te faisais à manger seul alors que tu n'avais même pas encore la douzaine d'années, tu allais à l'école seul, tu faisais les courses quand ta mère était trop fatiguée à cause de son travail, tu as même du recaler cet homme qui avait failli abuser de ta mère et pour cela, la violence était de mise. tu n'avais même pas encore seize ans. loyal envers les personnes qui lui sont chères : sa mère et ses amis proches. il ferait tout pour ces personnes et pourrait même mettre sa vie en danger. par contre, celui-ci a des penchants infidèles, sûrement du à son père. à part son nom de famille, c'est aussi de cela dont il a hérité. l'infidélité. c'est mal, mais il ne peut pas faire autrement, il ne sait pas se contenter d'une fille et c'est à cause de cela qu'il a l'étiquette du salopard auprès des filles. rebelle, un garçon qui n'a jamais écouté personne. son père lui payait des études rêvés, le droit. il a tout arrêté juste pour faire chier son géniteur. menteur et mystérieux. parce que macsen ment sur ses activités de temps en temps, qu'il ne dit pas toujours tout. il a des secrets et ne l'avouera jamais à personne. ses temps libres ne sont pas réservés qu'aux filles, malgré ce qu'il dit à ses amis.groupe | sa vie est une aventure, il est le propre leader de ces vingt-trois années. soul. il compte laisser une marque sur cette terre, se faire entendre, connaître. il en a assez de vivre dans l'ombre, c'est un rêveur, un courageux. il y arrivera, il a confiance.

being pulled in a new direction

Tu fumes, tu sais te modérer, mais tu n'en as pas envie. T'sais que c'est mal, que ça t'bouffe à l'intérieur, mais tu t'en casses. T'as plus rien à perdre, au final. » Tu sais jouer plusieurs instruments, tu as appris à l'école, alors que tu squattais pour ne pas rentrer, ton professeur de musique te laissait prendre place dans sa classe et il t'apprenait. C'était un ange, mais il est parti vivre aux états-unis et il t'a confié une guitare. Grâce à cela, tu sais jouer de la guitare et du piano. » On te croise souvent avec un appareil photo suspendu à ton cou, tu prends tout en photo et tu reproduis l'image sur toile. » Tu sais danser, mais tu n'as pas confiance en toi pour l'approuver. » T'aimes pas la foule, donc tu ne vas pas beaucoup en soirée. Ca t'rend malade, tu as du mal à respirer et tu trouves réconfort à l'éxtérieur. » Tu gères pas l'alcool, une fois une bonne dose dans l'sang, t'es un con, tu fais que des conneries et tu parles pour rien dire. » Tu loges chez ton père pour l'moment, tu squattes souvent chez tes potes aussi parce que parfois, tu ne supportes pas les manières de riches. T'as été élevé comme un gars en besoin. » T'es souvent à la bourre, la ponctualité, ce n'est pas ton truc. » Tu rêves de voyage, de s'en aller, mais tu n'as ni l'argent, ni le courage. » Tu ne peux te payer une voiture, c'est pour cette raison que tu te déplaces à pieds ou encore en skate, malgré tes vingt-trois ans.» c'est un garçon qui peut être violent quand il est en colère, autrement, c'est quelqu'un de doux. » Plus tard, tu veux deux enfants et un chien. Pour ça faut que tu arrives à garder une copine plus d'un an. » T'es pas forcément quelqu'un de sincère, tu aimes déconner et faire chier ton monde, mais quand il faut l'être, tu l'es un minimum. » Tu fais des choses pas légales, tu vends d'la drogue et tout ça. (Mais c'est un secret ça, chut.) » Il n'aime pas le soleil, c'est plus un gars d'la montagne. » T'aimes le sport, mais t'es trop flemmard pour bouger. » T'es ablutophobe, t'as pas peur de l'eau, mais t'as surtout peur de la noyade. Pour cause, tu as déjà failli te noyer : Tu sais nager, mais suite à une crampe, tu n'as rien pu faire. Heureusement, tu as eu de l'aide, mais peu importe les années qui passent, tu as toujours autant peur.

just a whisper of smoke

Tu fermes ton bouquin, ranges ton bic et fous tout cela dans ton sac à dos. Tu quittes ta chaise pour ensuite te faire bousculer dans les couloirs du lycée. Tu n'as jamais été un grand fan de la foule, tu n'aimes pas cela, tu te sens trop serré et les gens ne font jamais attention à où ils mettent les pieds. Tu te sens mieux après avoir posé un pied en dehors de l'enceinte. Ta journée de cours est terminé, tu peux retourner dans ton trou à rat, autrement dit, votre habitat. Mal entretenu, trop petit et peu apprécié. Tu n'aimes pas l'endroit où tu vis, mais malgré cela, tu fais avec. Tu te vois encore heureux de pouvoir suivre des études, de pouvoir manger et de tenir debout. T'es pas le plus chanceux des garçons, mais tu te vois forcer de faire avec. Tu sais que ta mère sera à là-bas, elle ne travaille que la nuit et elle ramène parfois un homme à la maison : Ta mère est une prostituée. Quand la prof à demander de ramener un parent pour présenter son travail, tu as refusé, tu as dit qu'elle était trop occupée. Tu ne voulais pas présenter ta mère à tes camarades, tu aurais reçu encore plus de moqueries que tu en avais déjà. T'étais plus la victime que la brute, à cet âge là. T'as chopé tes clés dans la poche de ton pantalon, à peine la porte ouverte que tu as compris que ça allait recommencer. La voix d'un homme, ce n'était pas ton père, mais bel et bien un inconnu. « Allez Abbey, ton fils n'est pas là, profitons-en. » Tu fronces les sourcils, tu as quatorze ans et tout cela n'est que ton quotidien. Des inconnus qui franchissent le pas de ta porte, qui font des avances à ta mère, tu dois leur servir à boire, faire à bouffer et ranger l'appartement car ta mère ne le fera pas à ta place. T'es l'esclaves des conquêtes de ta mère et ça te tapais sur le système. Tu n'avais pas de remerciements, ni même de formule de politesse. Tout ceci était normal, et même-toi tu avais trouvé une certaine normalité là-dedans. Tu l'avais fait pour ton bien, pour ne pas pleurer, pour ne pas crier. Tu ne t'es pas caché, tu as traversé le salon, mâchoire serrée. Tu n'as pas regardé ta mère, ni l'homme. Tu as juste trouvé réconfort en le bousculant, faisant semblant que ce n'était pas voulu, tu lui as fait ton baratin pour finalement, ne pas t'excuser. Tu es parti t'enfermer dans ta chambre, tu as balancé ton sac à travers la pièce et tu t'es allongé sur ton lit qui avait échappé quelques grincements, d'ailleurs. Tu as soupiré avant de tourner vivement la tête vers la porte, tu avais entendu un gros bruit et tu n'étais pas rassuré. Tu te sentais désolé pour ta mère, mais cet homme faisait le double de ta taille, tu ne pouvais rivaliser. Elle devait gérer cela par ses moyens, parce que toi, enfant fragile, tu n'avais ni la force, ni l'envie de faire face à la conquête de ta mère. Tu n'avais pas encore perdu la raison, tu savais réfléchir et voir où menait tout cela : toi, à terre. C'est tout ce que tu pouvais voir. Tu as entendu un autre bruit, ensuite ta mère qui marmonnait des mots, lentement au départ avant qu'elle ne se mette réellement à crier. Tu n'as pas pu rester dans ta chambre, tu est sorti de là et dans le salon, tu as poussé l'homme. Il n'a bougé que de quelques centimètres, pour ne pas dire un seul centimètre, en réalité. « Ne touche plus à ma mère ! » Il a rigolé et tu as pu voir dans les yeux de ta mère qu'elle avait peur. Tu savais ce qui allait suivre, mais tu restais de marbre, tu ne pouvais montrer ta peur. T'étais quelqu'un de fort. Pas un garçon fragile qu'on pouvait ridiculiser. Il s'est redressé et a rapidement regardé ta mère, il n'était pas le plus heureux des hommes à cet instant. « Une saloperie. Comme sa mère, on dirait bien. » Tu as grogné et serré tes poings. Tu n'étais pas de taille, c'était une certitude. Tu as déglutis et tu as couru. Tu étais plus rapide que lui, tu pouvais t'en réjouir. Enfin, jusqu'à ce que tu te retrouves coincé dans la cuisine. Là, tu étais dans la merde. Tu avais prier pour que ta mère vienne t'aider, le mettre à terre ou qu'elle appelle les voisins, par exemple. « M'man, appelle Cal ! » Tu t'abaissais en voyant un verre voler. Il venait de te balancer un foutu verre à la gueule, et ce n'était que le début. Tu te retrouvais agenouillé au sol, te protégeant le visage. Tu priais pour en sortir vivant et pas trop amoché, mais tu ne comptais pas sur lui pour t'épargner. Il puait l'alcool et la cigarette, comme tout les autres et cela te répugnait. Tu n'avais pas entendu la porte s'ouvrir, ni se refermer, ta mère n'était pas sortie, pas encore. Tu avais eu le temps de relever les yeux et de voir ta mère broncher en tentant de l'éloigner de toi. C'était facile pour lui, il avait suffit qu'il ne la pousse pour qu'elle se cogne violemment au mur. Seulement, ta mère avait été d'une grande aide. Tu avais eu le temps de choper un couteau de cuisine, rien de bien grand, mais tu savais que c'était efficace. « CALUM RAMENE TON CUL. » Que tu avais crié en tapant sur le mur de la cuisine, qui te faisait dos. Tu savais qu'il entendrait, les murs n'étaient pas insonorisés, ici, dans vos deux loft pourris. Calum, âgé de deux années de plus que toi, tu l'vois comme ton grand-frère. Il sait ce que fait ta mère, il sait tout de toi et surtout, il connaît les mauvais gars comme celui-ci. Calum, c'est pas le plus clean, mais tu lui fais confiance. Il s'approche, tu grimaces et tu te relèves. Tu n'as pas le temps d'agir que tu te retrouves collé au mur, violemment, comme ta mère. Sa main serre ta gorge, tu deviens rouge pour cause, tu ne sais plus respirer. Tu te débats, tu tentes de lui shooter dans la jambe, mais rien y fait. La seule option que tu trouves, c'est user de ce fameux couteau contre ta volonté. Tu sais que ce n'est pas rien, mais tu es tellement en colère et tu dois le faire, tu dois lui foutre ce couteau en plein dans le bide pour qu'il te lâche. Et c'est ce que tu as fait, les yeux humides par peur manque d'air, tu as pu lui mettre le couteau d'abord dans la hanche, ensuite un peu plus vers le bide. Il t'a lâché et tu t'es laissé tomber au sol, comme un faible. Calum s'est ramené juste après, il n'a pas compris, mais il a eu le bon reflex d'appeler directement les urgences. Non pas pour l'homme au sol, mais pour toi. Il y avait du sang partout et il n'a pas cherché à savoir d'où celui-ci provenait. Ce n'était pas le tien, mais bien celui de l'homme. Tu avais bien terminé à terre, mais t'étais pas le seul à être tombé : Il était tombé avec toi.

« Où est-ce que tu étais ? » Tu tournes ta tête vers ta mère, tu roules des yeux. Ce n'est pas ce genre de mère, elle n'a jamais été protectrice et attentionnée, elle comme toi, vous le savez. « Nulle part. Et puis, depuis quand ça t'intéresse ? » Tu rigoles, sans joie, ironiquement. Votre relation a changé. Après l'accident, ta mère était là pour toi avant de retourner dans ses merdes et depuis, c'est tendu. Tu ne la détestes pas, mais tu ne l'apprécies plus. Tu la respectes toujours autant, mais elle t'a déçu. Une de ses conquêtes a failli te tuer, il t'a étranglé et cela a suffit pour qu'elle reste proche de toi une semaine. Une semaine de pur bonheur, tu t'en souviens. Tu étais un garçon heureux, mais tout bonheur a une fin et cette fin, c'était le retour de ta vraie mère. La prostitué, la je-m'en-foutiste. Retour à la normalité. « Dayan t'a vu, au club, l'autre jour. Dans quoi t'es tombé ? » Ton sang n'a fait qu'un tour en entendant le prénom Dayan. Tu restais bloqué là-dessus. Dayan le monstre, l'agressif, celui que tu avais affronté ce jour-là. La conquête par excellence. « Dayan ? Tu te fous de ma gueule ? » T'es en colère, tu veux tout casser. Ca a beau faire une dizaine d'années, tu ne peux toujours pas te calmer en entendant ce foutu prénom. Elle a continué de le voir, même après tout cela. « Ce ne sont pas tes affaires. C'est ma vie privée. » Tu serres les poings avant de secouer ta tête de droite à gauche, tu lui en veux. « Sache que ta vie privée a mit en jeu ma vie dès mes quatorze ans. Que ta vie privée a détruit ma vie, tout simplement. T'es qu'une égoïste, c'était pas un secret, mais là, t'as dépassé un stade, m'man. J'en viens à m'dire que p'pa est peut-être mieux qu'toi, au final. Vous êtes des salops, tout les deux, y'en a pas un pour rattraper l'autre. Mais au moins, p'pa, il se soucie réellement d'moi et il mettra jamais ma vie en danger une seconde fois.» Tu te casses avant de revenir à la charge, tu peux pas, tu dois tout dire, c'est le moment. « J'me suis toujours cassé le cul pour toi, encore aujourd'hui. Ce que j'ai en retour ? Rien. Même pas un merci, rien. Tout ce que tu trouves à m'dire c'est un sous-entendu en mode ; "J'baise à nouveau avec l'homme qui a failli te tuer. Allez, fêtons cela." Bravo, m'man. J'avais du respect pour toi, mais t'as tout dégagé toi-même. J'me tire, tu demanderas à Dayan de payer le loyer et de t'faire à bouffer chaque soir. J'en ai fini là.» Tu fais ton sac, tout tes vêtements et tout ton matériel. Appareil photo et toile, ainsi que pinceaux. Tu sais où aller, tu seras toujours où aller. « N'essaye pas de me contacter. Bonne vie.» Tu franchis le pas de la porte et c'est décisif, ce que tu fais. Tu n'habites plus ici, tu en as terminé avec cette vie.

Sac sur le dos, tu sonnes. La voix résonne dans tes oreilles avant que tu répondes. « C'est Macsen.» Personne ne répond, tu te racles la gorge. « Je.. J'peux rester pour la nuit, p'pa ? » La porte s'ouvre, l'ascenseur monte au dernier étage : L'abandon, c'est derrière toi.