| | No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. | |
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+2Vitani Wilson Reed Dunagan 6 participants | Auteur | Message |
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Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
| Sujet: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Dim 14 Aoû - 23:17 | |
| Reed Dunagan i woke up i was stuck in a dream, you were there, you were tearing up everything. nom, prénoms | Dunagan Reed Ronald - cependant, t'as eu un autre nom, vestige d'une époque dont tu n'as pas le moindre souvenir : Kingsley. âge, date et lieu de naissance | 23 ans, né le 20 février 1993 à Canterbury nationalité et origines | britannique, pour ce que tu en sais. occupation | étudiant en dernière année de sociologie, t'as pas la moindre idée de ce que tu pourras foutre avec un tel diplôme après. T'es aussi caissier à mi-temps, sans compter le bénévolat à l'église où tes vieux te trainent encore parfois. statut financier | quand tes parents ont pigé que t'avais que 15h de cours par semaine - et encore, quand tu daignes faire acte de présence - ils ont arrêté de te donner ton précieux argent de poche, et t'as été obligé de te trouver un job pour financer ta beuh et tes soirées entre potes. T'es payé une misère pour supporter toutes ces têtes de con mais du coup, t'arrives quand même à mettre un peu d'argent de côté et t'es franchement pas à plaindre. état civil et orientation sexuelle | célibataire, hétérosexuel. T'es pas un queutard, mais tes relations dépassent rarement les quelques mois - tu t'ennuies vite, et faut avouer que t'es peut-être un peu casse-couilles aussi. situation familiale | placé avec ton frère jumeau chez les Dunagan dans votre plus tendre enfance, puis officiellement adoptés par cette même famille, t'as grandis avec deux autres frères - Noz et Bailey - et leur cousine. Pour toi, les Dunagan sont ta famille, et t'as l'impression d'avoir été élevé comme si t'étais vraiment des leurs ; même si tu trouves tes parents pénibles et que tes grands-frères sont un peu des connards sur les bords. Jack, ton frère jumeau, ça restait quand même celui dont tu étais le plus proche. Malheureusement vous venez de l'enterrer et même si t'évite le sujet t'es pas certain de t'en remettre un jour : ni de sa mort, ni de ses actes. traits de caractère | immature, drôle, sociable, incapable de se concentrer plus de dix secondes, fainéant, doté d'un fort esprit de contradiction, spontané. groupe | Soul. being pulled in a new direction + Depuis 4 ans tu tiens une chaîne Youtube sur laquelle tu postes quelques covers faits à la guitare. T'aimes la musique, peut-être que tu tiens ça de Bailey, même si ça te ferais chier de l'admettre. Oh, ta chaîne n'a pas un grand succès, tu culmines à 2000 abonnés à peine, mais tu t'amusais beaucoup. Jusqu'à ce que la section commentaires ne devienne remplie que de « c'est lui le maboule qu'a butté tout le monde ? » et de « mais non, ça c'est son frère je crois », en tout cas. + T'es végétarien depuis tes onze ans. A la base, c'était un peu pour emmerder ta mère, faut l'avouer – c'est que ça la torturait, de te voir bouder le poisson les vendredis -, mais t'as toujours été un grand défenseur de la cause animale, et t'as maintenant du mal à considérer un steak autrement que comme un morceau de cadavre. + T'as souvent fini au poste pour des délits mineurs, mais t'as quand même eu deux mois de travaux d'intérêt généraux après avoir libéré des lapins et des rats de laboratoire. + Tu ne crois pas en Dieu, malgré tous les efforts de tes parents pour faire de toi quelqu'un de pieu. T'y peux rien, t'as essayé, c'est vrai qu'un être supérieur pouvant exaucer tes prières serait pratique, mais tu ne vois qu'un gros tas d'incohérences dans les discours religieux. + Tu t'es fais tatouer, l'année de tes 16 ans, dans un shop de Camden Town pendant un voyage à Londres. Tes parents eurent alors un mélange d'émotions assez contradictoires : la colère de te voir modifier le corps que leur dieu t'a donné, et le soulagement de constater que ce n'est pas une tête de mort mais une croix chrétienne, que tu t'es fais encrer. Ils ne savent toujours pas que toi, tu la vois à l'envers, la croix – et que c'était juste un bras d'honneur supplémentaire de l'ado que tu étais à leur encontre. + Tu ne parles jamais de ce que ton frère a fait, tu esquives toujours le sujet – d'ailleurs t'as même carrément l'air en plein déni tellement tu t'acharnes à faire comme si rien ne s'était passé. Deux jours après, tu retournais déjà au boulot. La vérité, c'est que tu ne veux pas y penser – ni à la perte de ton frère, ni à ses victimes. + Tu trouves tes frères hypocrites, de s'intéresser si soudainement au reste de leur famille. Et tu détestes l'attention inquiète que l'on te porte ; c'est peut-être juste une façon de te soutenir, mais toi t'as surtout l'impression qu'ils s'attendent à ce que ce soit toi qui perde les pédales d'un instant à l'autre - des fois que ce soit génétique... just a whisper of smoke Recroquevillé sur ta chaise, les yeux perdus, le cœur vide ; tu sens plus rien – plus rien qu'une douleur atroce te vrillant les tempes et un trou béant brûlant au creux de ta poitrine. Tu regardes même pas le policier qui te fais face – mais lui, lui il te regarde, tu le sais. Ses yeux décomposent chacune de tes expressions, essaient de pénétrer ton esprit, de lire en toi. Tu sais pas depuis combien de temps vous êtes là, en silence, avec toi qui te tords de détresse sous son regard inquisiteur. T'aimerais juste rentrer chez toi. T'aimerais rentrer, te rouler en boule sur le sol et te laisser crever de chagrin. Jack qu'est-ce qui t'as pris putain. « De vous deux, t'étais le seul à avoir un casier judiciaire... C'est drôle, on aurait pu penser que ce serait plutôt toi qui disjoncterais, hein ? » Une seconde passe, pendant laquelle les mots te pénètrent comme autant de balles dans ta chair. Et tu réalises. Ce connard a vraiment dit ce que tu as entendu. « Je crois qu'on a pas le même humour » T'as essayé de montrer que t'avais de l'aplomb, que tu les laisserais pas te torturer de sous-entendus, mais ta voix s'est brisée au bout de quelques mots à peine. T'es vulnérable, ils le savent, ils comptent bien en profiter. C'est normal – t'es son frère jumeau, la personne la plus proche qu'il ait eu, le seul à partager son sang. Alors, c'est toi qu'ils vont cuisiner en priorité. C'est logique – mais ça ne veut pas dire que t'as les épaules pour supporter ça. Putain, Jack, pourquoi t'as fait un truc pareil? La porte de la pièce s'ouvre, et le policier qui entre pose devant toi un verre d'eau et le cachet d'aspirine pour lequel tu l'as supplié un peu plus tôt. T'avales ça cul sec. Tu te doutes que ça pourra pas faire grand chose pour le trou qui te ronge la poitrine, mais t'espère au moins que ça tassera ton mal de crâne – celui qui te broie le cerveau à force d'avoir pleuré ; d'avoir hurlé. Mais t'as plus de larmes maintenant. T'as plus rien. « Je comprends que ce soit dur pour toi... » C'est le mec qui vient d'entrer qui parle, et soudainement tu comprends qu'ils vont jouer au fameux jeu du gentil et du méchant flic. C'est d'un tel cliché que ça t'aurais presque fait sourire, si t'étais pas en train de vivre un putain de cauchemar. Tu vas te réveiller – il faut que tu te réveilles. « Mais ton frère a fait des victimes, et les familles auront besoin de réponses pour avoir une chance de faire leur deuil un jour, je suis sûr que tu comprends.. Alors il faudrait que tu nous aides à comprendre ce qui s'est passé ; d'accord ? » Tes yeux fixent une rayure sur le bois lisse du bureau ; tu ne cilles pas. « Combien ? » Ta voix est rauque, on sent combien le moindre mot te coûte, mais c'est pas pour autant qu'ils prennent la peine de te répondre. Alors, tu relèves les yeux sur eux et tu répètes. « Combien de personnes il a tué ? » Les larmes te montent à nouveau aux yeux. C'est ce mot, tuer. Ça n'a pas de sens, putain. Ça n'a pas le moindre sens, Jack. « On ne peut pas encore le dire. Plusieurs. » Tes doigts se tordent nerveusement. T'aurais presque aimé en faire partie, des victimes. T'aurais voulu que Jack ait le courage de pointer son arme sur toi, de te regarder dans les yeux, et d'appuyer sur la détente. Ça t'aurais épargné cet interrogatoire. Ça t'aurais épargné la perspective de vivre le reste de ta vie, non seulement privé du meilleur ami qu'elle t'ait offert, mais en plus avec son souvenir sali par l'atrocité de ses actes. T'as pensé aux parents avant de presser sur la détente, Jack ? Alors, les questions commencent à défiler, et tu réponds par monosyllabes, de plus en plus absent. - Beaucoup d'amis ? (non) Une copine ? (non) Homosexuel ? (non) Quel genre de caractère ? (le genre normal. Timide. Gentil.) Elle vient d'où son arme ? (j'en sais rien) Il t'as dit quoi ce matin quand t'es parti au boulot ? (« essaye de pas refaire un trou de caisse, tu vas finir par te faire virer »).- Il y a toute votre vie qui défile, décortiquée par deux inconnus, pour n'être bientôt plus que des mots couchés sur un rapport. C'est tout ce qu'il en restera. De sa vie, de la vôtre. Tu penses à ça et dans ton crâne il y a qu'un truc qui résonne : c'est pas possible. Il peut pas vraiment avoir fait ça. Tu peux pas, Jack, hein ? « La première victime serait apparemment Mrs Johnson, professeur d'art italien de la renaissance. Est-ce que l'un de vous deux l'avait comme enseignante ? » Toi qui avais l'impression de ne plus vraiment être là te retrouve comme projeté violemment dans ton propre corps. Ce qu'il reste de ton cœur se broie encore un peu plus. Tu pinces les lèvres et tu secoues la tête. Non. Non, vous ne l'aviez pas comme professeur. Mais maintenant, toi, tu sais. T'aurais même dû le savoir dès le début. * * * « Qu'est-ce que tu fais ? » Jack, les yeux rivés sur l'écran, s'était contenté de froncer un peu plus les sourcils, concentré. Alors, croquant dans ta pomme, tu t'étais approché, curieux. Des dizaines d'onglets se succédaient dans le navigateur. Des articles de journaux. Des arbres généalogiques. Des archives. Tu as senti ton cœur se serrer sous tes côtes. « Putain, t'es encore là-dessus ? » Ton frère ne répondit pas, encore une fois. Il ne parlait plus beaucoup ces derniers temps. Ça t'arracha un soupir. « Ok, admettons que tu trouves : ça va t'apporter quoi ? » Tu le dévisageais, fixant ses traits aussi impassibles que de la roche. Retrouver vos parents d'origines l'avait toujours beaucoup travaillé, mais depuis plusieurs mois, c'était devenu une vraie obsession. Ça allait finir par le rendre malade, tu le voyais bien. T'aurais aimé qu'il se sorte cette idée du crâne – ça te paraissais facile de ne pas y penser, à toi. Tu avais toujours considéré les Dunagan comme ta vraie famille – le reste, c'était que de l'ADN, c'était pas important. Mais pour une raison qui t'échappais, pour Jack, retracer vos origines était devenu vital. Tu allais sortir de la chambre, histoire d'aller manger ta pomme vers quelqu'un qui ferait un peu moins la gueule ; mais ton frère te rappela. « Trouvée ! Je l'ai trouvé ! » Tu te précipitais vers lui, le cœur battant. Un profil Facebook s'affichait sur l'écran. On pouvait y voir la photo d'une femme souriant à l'objectif – les cheveux châtains, les yeux bleus, une fossette au menton. Elle était encore jeune – probablement moins de quarante ans. Si c'était vraiment votre génitrice, elle avait dû tomber enceinte à l'adolescence. « T'es sûr ? » Pour toute réponse, Jack hocha la tête. « Nom de jeune fille : Kingsley. Elle est prof dans notre fac. Ca veut dire qu'on peut aller la voir aujourd'hui si on veut. » Son regard s'accrocha vraiment au tiens pour la première fois depuis longtemps. « On va aller la voir, hein ? » Tu ne l'avais jamais vu si heureux de ta vie. Tu ne l'avais jamais vu si dévasté de ta vie. Le visage rougit par la colère et le chagrin, Jack sorti du bureau en claquant violemment la porte. Tu le suivis sans un regard en arrière. Des larmes dévalaient ses joues. Les étudiants se retournaient sur votre passage pour le dévisager. « Quelle pétasse putain ! J'en ai rien à foutre, elle peut crever ! » Le moins que l'on puisse dire, c'était que votre tentative pour renouer le contact avec la femme qui vous avait donné la vie ne s'était pas bien passée ; elle avait tout bonnement refusé de vous parler. Elle avait juste dit qu'elle avait voulu vous garder, au début, mais ça avait été trop dur, alors elle avait supplié le prêtre de vous trouver une famille. Elle avait essayé de se reconstruire, elle avait même réussi – comme en témoignaient les photos de sa jolie famille - mais vous voir, elle ne le voulait pas. Vous lui rappeliez trop votre géniteur ; vous lui rappeliez trop ce qu'il lui avait fait. Jack entra dans la voiture, claqua la porte et s'effondra en sanglots. Tu t'assis sur le siège à côté de lui, l'enlaçant maladroitement. C'est pas si grave, tu lui as dit ; elle vous voulait peut-être pas dans sa vie, mais les Dunagan, eux, ils vous avaient élevés, et ils vous aimés comme des fils, ils avaient voulu de vous dans leur famille ; c'était pas le plus important ? Mais tes paroles n'avaient pas suffi à consoler Jack. Pendant des semaines, il traîna son chagrin d'une pièce à l'autre de la maison. Essayer de lui remonter le moral, c'était comme tâcher de faire saigner un rocher. Et puis, soudainement, il était redevenu ce qu'il avait toujours été : le garçon gentil, souriant, doux. Et toi, naïvement, tu avais cru qu'il allait mieux. * * * L'un des flics plisse les yeux. T'as l'impression qu'il a saisit ton trouble ; c'est peut-être pour ça qu'il décide d'insister : « Donc, vous ne connaissiez pas Mrs Johnson, hein ? Ni l'un ni l'autre ? » Tu ouvres la bouche, prêt à leur dire ce que tu sais ; peut-être que Jack aura moins l'air d'un monstre, si on trouve une explication à son geste. Mais tu penses à ta mère, la seule vraie mère pour toi, celle qui t'a élevé ; comment le prendra-t-elle, de voir que son fils ne la considérait pas comme une maman suffisante pour lui, au point de s'en rendre malade ? Et puis, la famille de Mrs Johnson voudrait-elle découvrir de cette façon qu'elle avait abandonné deux enfants ? C'est de ça, qu'il est question ; t'es peut-être tout seul ce soir face aux policiers, mais ce que tu diras aura un impact sur d'autres gens. Et toi, toi t'as pas envie d'ajouter de la douleur à la douleur. Ton souffle se coupe, tes lèvres se referment, et tu secoues la tête. Non. Non, vous ne connaissiez pas Mrs Johnson. - Spoiler:
behind the computer Pseudo - SD. Âge - 22 ans Pays/région - France. Avatar - Robbie Wadge. Avis - le lancement de fous que vous faites est mérité! Smiley préféré - Autre - écrire ici.
Dernière édition par Reed Dunagan le Mar 16 Aoû - 21:20, édité 22 fois | |
| | | Vitani Wilson
Messages : 43 Avatar et © : kimmy schram - Pseudo : Margot Age : 20 ans Job : Serveuse dans un fast food la journée, chanteuse dans un bar le soir Status : Célibataire
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 0:43 | |
| Bienvenue charmant jeune homme | |
| | | Raeha Dyer to the moon and back.
Messages : 170 Avatar et © : lily james (© me amo) Pseudo : catwalks, clau. Age : twenty-six, aging in november. Job : owner of a flower shop and florist at blossoms shop. Status : cursed. To-do list : erase the pokemon go app from the earth.
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 0:49 | |
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| | | Artie Dyer to the stars who listen.
Messages : 310 Avatar et © : ade kane (©mellow bird). Pseudo : belispeak, anaïs. Age : twenty-four years of fabulous. Job : best baker in town, just launched her own bakery "Crumbs". Status : crazy cat lady. To-do list : get to paint the shop, work on cupcakes original recipes, try to get a nice tan, feed the cats, kiss a boy or two.
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 1:34 | |
| Bienvenue parmi nous. Pourrais-je avoir le nom du jeune homme pour la réservation? | |
| | | Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 7:53 | |
| Artie - Oh oui, pardon! C'est Robbie Wadge Merci, vous trois | |
| | | Calista Mcfly
Messages : 65 Avatar et © : shelley hennig + omega Pseudo : lau Age : 27 yo Job : fire(wo)man Status : sort of single
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 8:35 | |
| baby robbie bienvenue | |
| | | Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 11:14 | |
| Merci belle Calista (joli choix de pseudo, au passage!) | |
| | | Maebh Chaplin
Messages : 90 Avatar et © : emilia clarke, hepburns + clarkielexa, ed sheeran. Multicomptes : aidan. Pseudo : caravage, emma. Age : thirty years old, has to cope with the idea that she has to be an adult now. Job : call the midwife. Status : love is a loosing game – and well, she's clearly not very good at it. To-do list : call gaby, clean the apartment, stop playing pokemon go, plan a trip with jackie, buy something for cora.
★ DRAW ME A SHEEP. Mood: happy. Contacts: RP: jeren, raeha, tc, nina, the band, gaby.
| | | | Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 11:35 | |
| Merci Maebh Réserve moi un lien, puisqu'il paraît que tu sors avec l'un de mes frères | |
| | | Maebh Chaplin
Messages : 90 Avatar et © : emilia clarke, hepburns + clarkielexa, ed sheeran. Multicomptes : aidan. Pseudo : caravage, emma. Age : thirty years old, has to cope with the idea that she has to be an adult now. Job : call the midwife. Status : love is a loosing game – and well, she's clearly not very good at it. To-do list : call gaby, clean the apartment, stop playing pokemon go, plan a trip with jackie, buy something for cora.
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 11:52 | |
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| | | Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Lun 15 Aoû - 12:13 | |
| T'en fais pas, j'étais pas prévu à la base de toute façon Oh que oui! Je te mpotterais quand j'aurais avancé dans ma fiche, pour qu'on voie ça | |
| | | Artie Dyer to the stars who listen.
Messages : 310 Avatar et © : ade kane (©mellow bird). Pseudo : belispeak, anaïs. Age : twenty-four years of fabulous. Job : best baker in town, just launched her own bakery "Crumbs". Status : crazy cat lady. To-do list : get to paint the shop, work on cupcakes original recipes, try to get a nice tan, feed the cats, kiss a boy or two.
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. Mer 17 Aoû - 0:08 | |
| Je suis restée scotchée tout le long de l'histoire. Je valide. | |
| | | Reed Dunagan
Messages : 36 Avatar et © : Robbie Wadge ©Shiya Pseudo : SD Age : 23 ans Job : étudiant en dernière année de sociologie, caissier au Waitrose
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| Sujet: Re: No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. | |
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| | | | No one ever had much nice to say, I think they never liked you anyway. | |
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